dossi ' blog ! les mauvaises herbes
Les 10 pires mauvaises herbes du jardin !
Les jardiniers sont à l’affût des adventices qu’ils veulent éradiquer de leur terrain, certaines se propagent très rapidement en étouffant le reste et méritent d’être supprimées afin de laisser la place à vos cultures. Voici donc une sélection des 10 pires mauvaises herbe du jardin !
Le chiendent
Le chiendent remporte sans doute la palme de la mauvaise herbe la plus connue : il s’agit d’une graminée vivace très invasive du fait de ses longs et profonds rhizomes traçants, très ramifiés qu’il est difficile d’anéantir puisque le moindre morceau de rhizome resté en terre va repartir.
Pour l’éliminer, ne pas utiliser de motoculteur ou de binette qui coupent les rhizomes mais griffer ou bêcher avec une fourche-bêche pour retirer les rhizomes dans toute leur longueur. Surveiller la germination qui repart en mars et en octobre.
Oxalis
Ressemblant aux feuilles de trèfles, les oxalis) deviennent facilement vivaces en produisant de nombreuses bulbilles qui contribuent à la dissémination de la plante.
Pour l’éliminer, il ne faut surtout pas biner ni bêcher au risque de faire éclater les bulbilles encore davantage qui recréeront chacune une nouvelle plante. Mieux vaut les arracher délicatement en veillant à ce que la tige ne se coupe pas pour bien récupérer les bulbilles.
Chardon des champs
Tout petite déjà, le chardon des champs se reconnait à ses petits piquants bien visibles. Il ne faut surtout pas la laisser fleurir ce qui lui permet de disséminer un peu partout ses milliers de graines au gré du vent. D’autre part, plus elle grandit, plus ses racines deviennent profondes et drageonnantes.
Pour l’éliminer, il faut extirper le chardon avec une gouge ou l’arracher avec une bêche pour retirer toutes les racines. En effet, le moindre morceau restant en terre repart, c’est pourquoi le motoculteur est à proscrire ici aussi.
Egopode
Surtout rencontrée dans les sous-bois, ll ' égopode forme un couvre-sol difficile à supprimer du fait des longs rhizomes traçants très envahissants.
Pour l’éliminer, il ne faut pas non plus disperser et couper les rhizomes avec un motoculteur ou une binette, il convient plutôt de tenter de les retirer au maximum en utilisant une griffe ou une fourche-bêche.
Mouron rouge ou mouron des champs
Le mouron rouge comme le mouron des oiseaux (Stellaria media) sont des plantes annuelles qui s’incrustent facilement dans les jardins, avec leurs tiges rampantes. La floraison contribue également à la dispersion de graines.
Pour l’éliminer, il convient de l’arracher avant la floraison : heureusement, il n’est enraciné qu’en surface et s’arrache bien à la main ou avec une binette.
Renoncule rampante
Ce joli bouton-d’or, la renoncule est très vigoureux et se dissémine par ses stolons d’une redoutable ténacité dans les gazons humides, sans oublier que le vent contribue également à disperser ses graines.
Pour l’éliminer, il faut intervenir idéalement avant la floraison et enlever chaque rosette avec ses stolons en se servant d’une fourche-bêche.
Ronce
Vous aimez cueillir des mûres mais vous préférez aller vous balader plutôt que de les récolter chez vous ? Vous avez raison car les stolons de cette plante ligneuse, la ronce s’enracinent avec une facilité étonnante et une vigueur extrême.
Pour l’éliminer, arrachez à la bêche les jeunes plantules, et utilisez une pioche pour venir à bout des robustes racines des ronces plus anciennes ; vous devrez même renouveler l’opération dès que des repousses apparaitront.
Plantain
Ce plantain lancéolé se caractérise par ses feuilles lancéolées disposées en rosette et sa large racine. S’il n’envahit pas la pelouse ou les allées du jardin, tout va bien mais s’il se dissémine trop vous devrez le stopper.
Pour l’éliminer, vous devrez arracher sa racine imposante en utilisant un couteau désherbeur ou une gouge.
Liseron des champs
Certains regretteront de devoir s’attaquer au liseron des champs qui a un certain charme lorsqu’il grimpe sur un grillage. Seulement, il faut savoir qu’il gagne de plus en plus en surface mais également sous la terre : ses racines sont extrêmement longues, ramifiées et profondes (jusqu’à plus d’1 mètre).
Pour l’éliminer, il faut régulièrement couper les tiges et arracher au maximum les racines. A force d’acharnement et de patience, le liseron jettera les armes !
Pissenlit
Le pissenlit devient une mauvaise herbe si votre gazon se transforme au printemps en magnifique champ de fleurs jaunes. Veillez à ne pas laisser fleurir ni monter en graines les pissenlits dont les graines se disséminent aisément avec le vent. Et ne laissez pas de morceux de racines, prompts à repartir.
Pour l’éliminer, avec une gouge ou un couteau désherbeur, vous devrez extraire la racine. Sinon, vous pouvez en faire votre salade lorsqu’il est jeune !
Les mauvaises herbes : pas toutes si mauvaises !
L’étude des mauvaises herbes, la malherbologie, est une science inventée au milieu du XIXème siècle par James Buckman, pharmacien chimiste anglais et Thilo Irmisch, botaniste allemand. Pour la première fois, la morphologie des mauvaises herbes était décrite. Toutefois, aujourd’hui, l’approche a évolué et elle permet de distinguer les herbes amies des herbes indésirables.
Les termes adventice, qualifiant les herbes poussant à un endroit où elles ne sont pas souhaitées, ou mauvaise herbe, expression surtout utilisée en agriculture lorsqu’une plante pousse accidentellement dans une culture, sont tous deux communément utilisés.
Les bonnes "mauvaises" herbes
Certaines "mauvaises" herbes participent à la préservation de la biodiversité en servant de gîte à la faune utile comme les insectes pollinisateurs qui peuvent se nourrir du nectar de celles qui fleurissent tôt en fin d’hiver ; d’autres nourrissent les oiseaux avec les graines ou baies qu’elles produisent et certaines enfin doivent leur existence uniquement à des mauvaises herbes bien précises :
- plantes qui attirent les insectes pollinisateurs : marjolaine, origan, pissenlit, berce, chicorée sauvage, bardane, lierre, eupatoire, lamier, bourdaine…
- plantes qui attirent les insectes auxiliaires : centaurée, fenouil, ortie, lierre, pâquerette…
- plantes nourrissant les oiseaux : sureau, lierre, graminées, lierre, aubépine, renouée, plantain…
- plantes insecticides : tanaisie, fougère aigle…
- plantes servant à des préparations soignant d’autres plantes : consoude, orties, soucis…
- plantes bonifiant le sol : rumex, trèfle, fabacées…
- plantes médicinales qui soignent : sauge, bouillon blanc, bleuet, chélidoine…
- plantes ornementales qui sont jolies : pavot, bleuet, campanule, nigelle, pied d’alouette, scabieuse, lierre…
- plantes comestibles : pissenlit, cardamine, ail des ours, fenouil, pourpier, ortie, jeunes feuilles de pâquerettes…
Les mauvaises herbes à surveiller
Certaines mauvaises herbes sont à craindre du fait de leur caractère expansif ; elles sont donc à éliminer dès qu’elles pointent le moindre bout de tige : oxalis, chiendent, armoise, bardane…
Surveillez aussi celles qui se développent plus vite qu’il ne vous faudra de temps pour programmer leur désherbage : chardon, renoncule rampante, prêle, liseron, ronce, sans oublier l’ambroisie qui, en plus, est extrêmement allergisante ou le datura et la brione dioïque particulièrement vénéneuses.
Comment se propagent les mauvaises herbes ?
Les mauvaises herbes sont particulièrement ingénieuses, elles se sont adaptées à nos pratiques culturales de mille façons : pour échapper aux outils qui travaillent la terre en surface, leur système racinaire se développe encore plus profondément (liseron), pour passer inaperçues, elles se fondent au milieu de plantes ressemblantes (le chiendent dans le gazon), pour survivre aux désherbants, elles résistent ou séparent leurs rhizomes afin d'éviter que toute la plante soit touchée, pour se multiplier plus efficacement, elles profitent du motoculteur qui coupe les racines comme autant de boutures (renoncule rampante, chiendent) ou elles germent toute l’année en produisant des quantités de graines (mouron), etc.
La nature est bien faite, comme on dit !
Désherber : oui, mais avec discernement
Le désherbage doit être fait, bien sûr, à proximité de la maison, pour des raisons esthétiques et d'entretien soigné, ou au potager pour éviter que les mauvaises herbes concurrencent trop les plantations, se ressèment spontanément, propagent des maladies ou entretiennent une humidité excessive.
Mais, il est tout à fait judicieux pour la biodiversité de conserver des secteurs de votre jardin, plus naturels, tout en gardant un œil sur les adventices les plus encombrantes (ronces, chardon, rumex…).
N’utilisez jamais de désherbants chimiques : les dégâts qu’ils provoquent sur la santé et l’environnement sont catastrophiques et à l’échelle d’un jardin, il est tout à fait possible de s’en passer en préférant des alternatives naturelles ou manuelles
le Potager des Fleurs ! le Blog
plumbago du cap
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origine : Afrique du Sud
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plantation : au printemps
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floraison : printemps & été
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hauteur de : 6 m
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ma couleur : bleu, bleu mauve, blanc
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exposition : au soleil ☀️☀️
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rusticité : NON rustique +1°C 🏠🏠
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humidité du sol : sol frais et bien drainé 💦💦
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type de sol : sol riche , humus , terreau , acide
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utilisation : jardinière , treillage , pergola
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p'tites bêtes et maladies : Les cochenilles, les aleurodes, les araignées rouges sont à craindre surtout si le plumbago est en serre.🐌🐌🐌
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et tu ' savait ! : Il existe une quinzaine d'espèces au total
Sa culture est facile : le plumbago aime la chaleur et se développe rapidement avec d’importants arrosages durant la période de croissance. Peu difficile sur le type de terre à sa disposition, la dentelaire demande avant tout une terre riche, enrichie de compost chaque année, ou avec un apport d’engrais régulier pendant la croissance. Rien ne permet aux branches de s’accrocher, elles doivent être palissées manuellement avec des petites ligatures sur le support.
Le plumbago peut être cultivé en bac dans une véranda toute l’année, où installée au soleil à l’extérieur en été et rentrée à l’abri du gel en hiver. En hiver, les arrosages sont fortement diminués.
Composteur
Bonjour,
Le jardin produit quantité de résidus : feuilles morte, déchets de tonte et de taille. Les allers-retours à la déchetterie pour s'en débarrasser ne contribuent guère au respect de l'environnement utilisant un trajet de voiture donc demission de gaz... Nos cuisines aussi regorge de dechet compostable épluchures de légume, café moulu ou dosette souple et sachets de thé ....

Difficulté
Le compost demande la maîtrise de quelques tours de main pour obtenir un produit efficace qui viendra nourrir le jardin toute l’année.Trop sec ou humide, mal décomposé, très malodorant… souvent, le compost est raté ! Quelques règles doivent être suivies pour le composer. Puis surveiller son évolution toute l’année.
Fabriquer ou choisir un bac à compost
La fabrication du compost commence par la construction d’un bac, de préférence muni d’un couvercle pour protéger les résidus organiques des intempéries, mais sans fond, car il est indispensable que ces résidus soient au contact du sol. Il existe, dans le commerce, des modèles en kit, faciles à monter et d’un coût modéré. Un composteur de 1 m³ suffit pour une surface de 500 m².Que faut-il mettre dans son composteur ?
On y déverse les épluchures de la cuisine et les déchets organiques du jardin après les avoir fragmentés en morceaux. À cette fin, mieux vaut s’équiper d’un bon broyeur électrique.Le compost est de meilleure qualité si l’on alterne les couches de déchets secs et mouillés, verts et bruns, et si l’on mélange chaque couche avec la précédente. Il est conseillé d’ajouter un peu de terre, d’arroser pour empêcher son dessèchement et d’apporter de temps en temps du purin d'ortie.
Combien de temps faut-il pour faire du compost ?
L’amendement est prêt au bout de 4 à 6 mois, parfois un peu plus longtemps. Il ressemble alors à du terreau.Quelle est la différence entre un compost et un terreau ?
Le compost et le terreau sont tous les deux issus de la décomposition de matières organiques végétales ou animales. Mais le terreau est un type particulier de sol meuble, très riche en humus, dans lequel il est possible de cultiver directement un grand nombre de végétaux, notamment les semis et les jeunes plants.Le terreau que l’on achète dans le commerce est composé d’un fort pourcentage de tourbe. Il n’a pas grand chose de commun avec celui qui se forme sous le couvert des arbres en forêt ou que l’on peut obtenir par la décomposition d’une grande quantité de feuilles mortes ou de fumiers.
Le compost résulte de la décomposition d’un mélange équilibré de déchets verts et bruns provenant du jardin et de la maison. Il n’est pas utilisé pur pour cultiver des végétaux, mais il est ajouté en surface pour améliorer et enrichir la terre dans le jardin ou les potées et jardinières. Ce n’est pas un support de culture, mais plutôt un amendement et un fertilisant.
Le bon emplacement pour le composteur
Choisir un coin du jardin au soleil pour installer le composteur qui doit contenir deux bacs, l’un recevant le tas en cours de compostage, l’autre, celui qui donnera le compost de l’année prochaine.L’accès doit être dégagé et permettre ainsi de retourner l’ensemble des matières à l’aide d’une bêche.
Suivre le bon déroulement du compostage
Deux ou trois semaines après la mise en route, examiner l’aération et le taux d’humidité du tas.- S’il sent l’oeuf pourri, c’est qu’il manque d’air et contient trop de matières vertes. Le retourner.
- À l’inverse, une absence d’odeur signale sûrement un manque d’eau : les déchets sont fossilisés, le processus est figé. Arroser !
Au bout de six à douze mois, le compost perd une partie de son activité microbienne. Il est bon à être utilisé par épandage, ou plus tard comme substrat de plantation. Il est fertilisant par ses matières organiques et améliore la structure du sol. Il permet une meilleure rétention de l’eau. Les plantes mieux nourries sont plus résistantes.
Trucs et astuces pour réussir son compost

Puis faire des couches alternées de déchets bruns et verts.



Ne pas l’enfouir en profondeur, mais le griffer car ses micro-organismes ont besoin d’air.
Mélanger régulièrement et arroser de temps en temps afin de soutenir l'activité des micro-organismes.
Utiliser le compost pur comme paillage au pied des vivaces et des légumes gourmands.
Épandre le compost bien mûr à l’automne ou au début du printemps pour profiter de son effet à long terme.
Composter les matières vertes, molles et humides (riches en azote)
- Épluchures et déchets de fruits et légumes. Les épluchures de bananes et les agrumes peuvent également aller au compost. Contrairement à ce qui se dit régulièrement, ces dernières n'acidifient pas le compost. (on evite peau de melon et agrume)
- Marc de café avec le filtre en papier. Les pads en papier peuvent également être mis au compost. On les déchire d’abord, afin de permettre une décompositionplus facile.
- Sachets et feuilles de thé. Sauf les sachets en matière synthétique qui ne se compostent pas.
- Fleurs fanées
- Tontes de gazon. Elles sont toutefois difficiles à composter. Riches en eau et en azote, elles se tassent facilement ce qui empêche une bonne circulation de l'air et provoque de mauvaises odeurs. Pour éviter cela, mieux vaut d’abord laisser sécher l'herbe sur place avant de l'incorporer au compost. Cela permet à l'humidité de s'évaporer et de composter un matériaux plus sec.
- Végétaux frais (feuilles, plantes de jardin, etc.). Certaines feuilles (noyer, chêne, laurier-cerise, etc.) sont plus coriaces et contiennent des tanins qui ralentissent le processus de décomposition. Pour activer leur décomposition, on passe la tondeuse dessus pour les déchiqueter. On peut aussi en faire un tas spécifique et laisser faire la nature pour réaliser un terreau de feuilles (3-4 ans).
- Résidus de récolte du potager (trognons, fanes, pieds fanés, éclaircies...).
- Mousses végétales
- « Mauvaises » herbes. Si elles sont montées en graines, il faut les tremper dans l'eau durant 48 heures avant de les introduire au cœur du compost. Ces graines vont ainsi germer dans le compost (et non dans le jardin), et/ou être détruites par la chaleur du compost. La consoude et l'ortie sont deux bons activateurs de compost. À l’inverse, certaines herbes de type « racines » (chiendent, pissenlit, etc.) sont très résistantes (même jusque 60 C°). Idéalement, on les laisse d’abord sécher avant de les composter.
- Fientes de volaille
- Papiers, cartons et tissus cellulosiques. Par exemple les mouchoirs en papier, essuie-tout, feuilles de papier journal où on a épluché des légumes, etc. On évite toutes les parties colorées qui peuvent contenir des métaux lourds.
- Bois de taille et broussailles. Ils ne se décomposent bien qu'après broyage ou s'ils sont coupés finement.
- Copeaux et frisures de bois. En petites quantités uniquement. On proscrit les bois traités ou peints.
- Paille
- Fleurs fanées, foin
- Tiges et feuilles sèches
- Litières de petits animaux herbivores : lapin, cobaye, etc.
- Emballages avec le label « OK Compost HOME »
- Écorces broyées
- Les fumiers de cheval, lapin, chèvre, etc. sont déjà équilibrés (carbone/azote) et se compostent donc très bien !
Matières compostables avec précaution
- Coquilles d'œufs et os. Ils peuvent être mis au compost mais ils se décomposent lentement. On évite donc d’en mettre en trop grosse quantité et, si possible, on les écrase au préalable.
- Résineux. Ils ne rendent pas le compost acide, contrairement à certaines croyances. Mais comme ils contiennent des inhibiteurs de croissance (qui ralentissent ou empêchent la croissance des plantes), on ne dépasse pas la proportion de 10 à 15% de ces matières dans le compost.
- Restes alimentaires cuits. Seulement en petite quantité et bien enfouis au centre du compost, là où ça chauffe le plus.
- Pain. On l'humidifie bien avant de le mettre au compost et on évite d’en mettre en trop grande quantité. Plutôt que de mettre son pain rassis au compost, on peut en faire de la chapelure, du pain perdu…
- Plantes malades. On les incorpore uniquement au centre du compost, là ça chauffe le plus, afin de détruire les pathogènes.
- Cendres de feu de bois. C'est un engrais minéral riche en potasse, phosphore, chaux et oligo-éléments. Il faut toutefois l'incorporer en petite quantité (maximum 3 kg/m³ environ).
Matières non compostables ou à éviter
- Huiles et graisses alimentaires
- Cendre de charbon de bois (après un barbecue)
- Bois de menuiseries et bois traité
- Poussières d'aspirateur
- Matières synthétiques
- Journaux avec couleurs, périodiques illustrés
- Litières de chats en argile
- Terre et sable (sauf en petites quantités)
- Chiffons et textiles
- Litières et excréments de chats et chiens. Vu la présence possible de parasites et de germes pathogènes transmissibles, on évite de les composter à domicile. La température du compost doit absolument être partout supérieure à 55°C, ce qui est rarement le cas dans un compost de jardin…
Bonne soirée a tous !
astuces & conseils
La coccinelle, un insecte des plus utiles au jardin
Les jardiniers souhaitant éviter l’utilisation de pesticides pour lutter contre les pucerons et autres nuisibles ont à disposition des solutions naturelles non nocives, à savoir les auxiliaires de jardin. La coccinelle se trouve en tête de liste des insectes capables d’éradiquer efficacement les parasites.
Les dégâts des pucerons dans votre jardin
Les jardins sont généralement des nids à parasites. Au rang des nuisibles les plus redoutés par les jardiniers figurent les pucerons. Appartenant à la famille des aphididés, ces petites bêtes se déclinent en plus de 4000 espèces. Elles sont généralement de couleur bleu, vert, noire, brun ou rouge et font entre 1 et 4 mm de long. Les pucerons sont dotés d’une sorte de pièce buccale qui leur sert à aspirer la sève des plantes. Ils sont aussi à l’origine de la production de miellat, une substance favorisant l’apparition d’un champignon, et surtout attirant les fourmis qui colonisent donc les mêmes plantes que les pucerons. Du point de vue esthétique, ces nuisibles entraînent également la déformation des feuilles.
Par le passé, la seule solution efficace et radicale privilégiée par les jardiniers pour venir à bout de ces parasites consistait à utiliser des pesticides. Toutefois, depuis que les jardiniers ont pris conscience de la pollution que ces produits chimiques entrainaient durablement sur notre environnement, les vieilles recettes et combines du jardinage d'autrefois refont surface et privilégient les méthodes de lutte naturelles.
L’efficacité des coccinelles pour lutter contre les pucerons
Désormais, bon nombre de jardiniers optent pour l’utilisation d’auxiliaires de jardins à l’instar des coccinelles. Dans la lutte biologique, ces insectes sont beaucoup plus efficaces que les solutions chimiques inventées par l’homme. D’ailleurs, les pucerons deviennent aujourd’hui de plus en plus coriaces, au point qu’ils parviennent à résister aux pesticides. En ayant recours aux coccinelles, les jardiniers sont certains de garantir la santé et la croissance de leurs plantes.
L’avantage est qu’elles sont particulièrement voraces. Une coccinelle peut consommer quotidiennement jusqu’à 100 pucerons. Les larves (ci-dessous) sont encore plus insatiables. Elles peuvent manger jusqu’à 150 pucerons lorsqu’elles atteignent le quatrième stade de leur développement. Autant dire que les pucerons n’ont aucune chance. D’autres avantages peuvent être attribués aux coccinelles.
Par exemple, celles-ci ne véhiculent aucune maladie et ne piquent pas. De plus, leur régulation s’effectue en fonction du nombre de pucerons dans le jardin. Quand ils sont nombreux, la population de coccinelles augmente automatiquement.
Comment attirer les coccinelles dans votre jardin ?
Pour attirer les coccinelles dans le jardin, la technique consiste à supprimer l’utilisation des pesticides. Ensuite, il est conseillé de privilégier une flore riche et naturelle dans le jardin.
La fève et la capucine font partie de leurs plantes préférées. En les cultivant dans votre enclos, vous êtes certain d’attirer les jolis insectes rouges à pois noirs. Il est également recommandé de planter certaines espèces de fleurs comme l’absinthe, la bourrache, la centaurée ou l’anthémis ; les coccinelles en raffolent. Si toutefois vous souhaitez gagner du temps, il est possible d'acheter des larves de coccinelles (photo) ou des coccinelles adultes, soit sur internet, soit dans les magasins de jardinage.
Les différentes coccinelles
Les lâchers de larves de coccinelles qui se sont faits dans les années 1990 étaient celles de coccinelles asiatiques (Harmonia axyridis). Or, elles constituent une véritable menace pour les espèces locales qui n'ont plus assez de nourriture et dont elles dévorent les larves. En outre, elles se reproduisent à vitesse grand V ce qui les classe parmi les espèces invasives écologiquement redoutables. On les reconnait à leur taille plus importante (jusqu'à 1 cm de long) et à leur couleur variable comportant souvent beaucoup de points (photo ci-dessous).
Les espèces indigènes sont soit Adalia bipunctata, dite "à deux points", soit Coccinella septempunctata, "à 7 points". Il existe aussi une coccinelle jaune à points noirs, Propylea quatuordecimpunctata, "à 14 points" ou coccinelle à damier.
le Potager des Fleurs ! le Blog
dossi ' blog ! l'ortie
l ' Ortie ( Urtica dioica )
l ’ortie , une formidable mauvaise herbe !
La plante vivace urticante, base du purin d’ortie
Les vertus médicinales de l’ortie
- en infusion : 2 cuillères à soupe de feuilles d’ortie séchée / 150 ml (4 tasses maximum / jour) en laissant infuser 10 mn,
- en décoction : 30 à 40 g de racines d’ortie / 1 litre (3 tasses maximum / jour) en faisant bouillir 5 mn et en laissant infuser 10 mn,
- en gélules, extraits ou teinture-mère, selon les indications du pharmacien.
L’ortie dans la cuisine
Lamier (Lamium) ou ortie blanche
Des orties au fond du trou de plantation : un geste inutile
l'ortie constitue une niche écologique importante pour de nombreux insectes qui y trouvent un lieu de ponte, mais aussi le gîte et le couvert. Elle est l'hôte de plusieurs espèces de papillons qui sans elle, ne fréquenteraient pas votre jardin ! Des études ont aussi prouvé que l'ortie attire les pucerons et leurs prédateurs que sont les coccinelles et les cantharides.
Si vous laissez un petit coin dédié aux orties non loin de vos cultures celles-ci seront moins attaquées par les insectes parasites. L'ortie est donc un très bon outil dans la lutte raisonnée contre les pucerons.
Orties et papillons une association vitale
L'ortie propose le gîte et le couvert à une trentaine d'espèces de papillons qui ne peuvent survivre sans sa présence. La préserver au jardin est donc la meilleure solution pour les attirer chez vous ! N'oubliez pas non plus que cette plante possède des vertus médicinales, alimentaires et phytosanitaires importantes. Mais revenons à nos papillons, qui pour certaines espèces, ne pondent que sur ou au revers des feuilles d'orties. Les chenilles s'y développent ensuite en se nourrissant des feuilles et les adultes trouvent même du nectar à l'intérieur des corolles.
De leur côté, les espèces d'orties dioïques sont pollinisées grâce aux papillons qui assurent ainsi la fécondation des fleurs femelles par les fleurs mâles qui ne sont pas présentes sur la même plante.
Présentation côté jardin potager
Bonjour,
Petite présentation je suis marina je vais m'occuper du potager sur ce blog.
Je ne suis pas professionnel juste passionné par le potager faire mes semis, planter, récolter les légumes récupérer les graines pour pouvoir recommencer le cycle
Je n est pas toutes les réponses à toutes les questions évidemment mes je peux vous guider sur ce que je connais.
Le 1 er du mois je ferais un rapel du calendrier des fruits et légumes de saison.
Je vois dit bonne soirée et au plaisir de vous aider. 😁
bonjour , a tout le monde petite présentation de ce Blog !
Marina HS & Jean-Mi Dm
ce blog que nous vous avons préparés est la suite logique du groupe Facebook , bien sur les nouveautés , les surprises , les sujets complets en compléments du groupe www.facebook.com/groups/lepotagerdesfleurs/
l ouverture officielle est le 20/09 à 20 h pour Marina & 20h20 pour jean-mi
allez à dimanche a tout le monde et ont oublient pas , je vous surveille faitent gaffe 🤣🤣🤣🤣
soyez curieux .
le Potager des Fleurs ! le Blog
Ont arrivent !!!!
Bonjour , a vous oui ont arrivent dimanche et ouais à 20h et ouais , soyez curieux. Allez bises et à dimanche. 20h
Je te jure 😉😉
nous sommes heureux de vous voir parmi nous
bonjour , les gens comment allez vous voici le Potager des Fleurs ! le Blog
Il existe déja le groupe Facebook & pourquoi pas le blog en complément , notre passion pour le jardinage , potager , et aussi l ' Amour du partage et d ' apprendre bien sûr aussi , ne pas hésiter à nous laisser un petit message , nous ont adorent ça 😉😉
Marina hs Jean Mi Dm
* nous vous proposerons des sujets , et les autres rubriques mais ce sera moins régulier
* Les sujets seront développées
* le Potager ( tous les mardi a 20 h )
* des Fleurs ( tous les jeudi a 20 h )
* vos questions ???? tous les jours 😉😉😉😉
( toutes les questions sur ce blog qui n ' auront aucun rapport avec le potager ou les plantes et fleurs sera refusé et supprimer )
rendez vous le 20/09/2020 à 20h .
le Potager des Fleurs ! le Blog